Eucalyptus de Théo Van Rysselberghe (1906)
Un entrelacs de branches d’eucalyptus, puis la mer, et enfin la côte de ce qui deviendra la commune de Saint-Maxime : Théo Van Rysselberghe pose son chevalet dans le golfe de Saint-Tropez.
Selon la technique du divisionnisme, les touches de couleur structurent la composition et donnent du relief aux éléments.
Une lumière magnifique émane de la juxtaposition des jaune-vert, bleu-vert et blanc des troncs aux formes tourmentées.
Eucalyptus est le seul tableau présent dans « Le Chemin des peintres » qui n’ait pas été peint au Lavandou !
« Maintenant, je suis en pleine évolution et j’utilise davantage mon instinct, ma sensibilité ».